Cette étude, très axée "nouvelles énergies propres", prend exemples sur plusieurs grandes villes du monde (occidentales mais également BRICS) et analyse les actions mises en œuvre pour lutter contre les dérives climatiques (rappelons que la capacité des villes à s’adapter au changement climatique est essentielle : elles représentent environ 70 % de la demande énergétique et des émissions de gaz à effet de serre dans le monde.)
Même encore balbutiantes, ces nouvelles stratégies énergétiques sont rendues possibles grâce notamment aux smart grids et au développement des énergies renouvelables (éolien)... Toutes ces actions au service de cette "ville frugale" qui s'organise pour économiser et mieux partager les ressources. A quelques jours de la COP21 et alors que l'Agence internationale de l'énergie vient de publier (10/11) les scénari des grands enjeux énergétiques et climatiques des vingt-cinq ans à venir, - la demande mondiale d'énergie va encore augmenter de 30% d'ici 2040 - , gageons que ce futur marché des villes « propres et intelligentes » puisse réellement voir le jour et ainsi participer aux actions des
Etats contre le changement climatique.